Fermer×
5 avril 2006

Le portfolio électronique, un outil utile pour l’activité d’intégration

Ce texte a initialement été publié par Profweb sous licence CC BY-NC-ND 4.0 International, avant la création d’Éductive.

Comment le portfolio électronique peut assurer à l’élève une meilleure réussite scolaire, le guider dans sa démarche d’orientation…

Table des matières

  1. État de la question
    1. Une définition
    2. Un historique de l’utilisation du portfolio
    3. Les types de portfolio pour l’apprenant
    4. Les types de support
  2. Dans la pratique
    1. L’implantation dans un programme
    2. D’autres utilisations du portfolio
    3. Un exemple : l’activité d’intégration dans le programme des sciences humaines
    4. Le portfolio électronique en sciences humaines au Cégep de Sherbrooke
  3. Références utiles

État de la question

À la fin des années 80, les travaux de la psychologie cognitive ont provoqué un changement de paradigme. Nous passions alors d’un paradigme d’enseignement à un paradigme d’apprentissage. Ce changement mettait en évidence de nouvelles réalités éducatives : l’importance des connaissances antérieures dans la construction de nouveaux savoirs, l’interaction avec les pairs, des apprentissages significatifs, bien se connaître en tant qu’apprenant et être engagé dans son propre cheminement (UQTR, 2005).

Dorénavant, l’apprentissage était vu comme un processus actif. L’étudiant devient le maître de ses apprentissages et voit ses responsabilités s’accroître. Dans cette situation de participation active de l’étudiant, le professeur a pour fonction d’orienter et de soutenir l’apprentissage. L’évaluation fait partie intégrante de cette démarche. La fonction principale du professeur est alors d’aider l’étudiant dans son cheminement et de permettre d’ajuster ses interventions pédagogiques (MEQ, 2002).

Comment le professeur peut-il aider les étudiants? À se responsabiliser? À réfléchir sur leurs apprentissages? À bien se connaître? À intégrer les connaissances, habiletés et attitudes apprises? À mieux réussir? Dans le contexte de ce changement de paradigme, le portfolio est un des outils proposés pour répondre aux nouveaux besoins éducatifs.

Une définition

Le portfolio d’apprenant se définit comme une collection des réalisations de l’étudiant qui démontrent ses efforts, ses progrès et ses apprentissages et qui prend forme dans le temps (Goupil, 1998).

Le portfolio est un outil dynamique qui permet de suivre l’évolution de la progression d’un étudiant dans ses apprentissages. L’étudiant est l’acteur principal dans l’élaboration du portfolio. Les travaux sélectionnés sont accompagnés de commentaires de la part de l’étudiant sur ses réalisations et son cheminement. Cette activité métacognitive amène l’étudiant à bien se connaître, à s’auto-évaluer et à s’engager dans ses études. Le portfolio peut aussi contenir des commentaires et des réflexions des professeurs et autres professionnels de l’enseignement.

Le portfolio n’est pas seulement un projet de fin de session. C’est une méthode d’apprentissage qui facilite l’évaluation, puisqu’il permet au professeur d’avoir une vue globale des progrès de l’étudiant. Le portfolio peut témoigner de la réussite de l’étudiant (Amblard, 2004; Eyssautier-Bavay, 2004).

Un historique de l’utilisation du portfolio

Au début des années 90, les pédagogues américains et anglophones du Québec commencent à utiliser le portfolio en éducation. Le personnel enseignant francophone québécois s’y intéresse par la suite. En 2000, la réforme de l’éducation aux ordres d’enseignement primaire et secondaire au Québec, présente le portfolio comme l’un des outils de consignation pour rendre compte du progrès de l’élève dans sa réussite scolaire (MEQ, 2002, p. 5). Plus récemment, cet intérêt pour le portfolio s’est étendu aux pays européens comme la France, la Suisse et la Belgique. De plus en plus de professeurs l’intègrent à leurs pratiques pédagogiques.

Les types de portfolio pour l’apprenant

Il existe trois types de portfolios pour l’apprenant : le portfolio d’apprentissage, le portfolio de présentation et le portfolio d’évaluation.

  • Le portfolio d’apprentissage appelé aussi portfolio de progression a pour but de déposer régulièrement les différentes réalisations qui sont signifiantes pour l’étudiant. Il permet de suivre le cheminement de l’étudiant, d’aider l’étudiant à prendre conscience de ses apprentissages, d’apprendre à s’auto-évaluer. L’élève doit commenter les moyens mis en œuvre pour réaliser ses travaux.
  • Le portfolio de présentation demande à l’étudiant de sélectionner les meilleures réalisations et de justifier ses choix. L’étudiant apprend à porter un regard critique sur son travail. Il s’inscrit dans une démarche de connaissance de soi. Il identifie ses forces et ses faiblesses, ses motivations ainsi que ses centres d’intérêt au regard de ses objectifs d’apprentissages liés aux compétences à développer.
  • Le portfolio d’évaluation sert à démontrer la ou les compétences atteintes dans un programme ou exigées à l’entrée d’un programme. L’apprenant sait dès le départ qui évalue ses documents et sur quoi il est évalué (MEQ, 2002).

Les trois types sont combinables. Les portfolios sont habituellement employés pour une combinaison de différents buts et incluent des caractéristiques de chacun des portfolios ci-dessus (Van Tartijik et Driessen, 2005).

Les objectifs visés par l’utilisation d’un portfolio d’apprenant sont nombreux :

  • développer les capacités métacognitives de l’étudiant;
  • augmenter leur motivation par leur implication dans leur formation;
  • permettre une évaluation sommative non pas sur un travail à un instant donné mais sur un ensemble de travaux réalisés tout le long de la phase d’apprentissage (Eyssautier-Bavay, 2004).

Les types de support

Le portfolio d’apprenant peut se présenter sur différents supports : papier, numérique ou hybride.

  • Le portfolio sur support papier nommé aussi portfolio traditionnel peut englober différents documents tels que des textes de l’étudiant, des photos, des cassettes audio ou vidéo. Ces documents peuvent être conservés dans un cartable, une chemise accordéon, un classeur à titre d’exemples.
  • Le portfolio sur support numérique est appelé portfolio électronique ou ePortfolio. Son contenu peut comprendre des documents électroniques (Word, Excel, etc.), des photos, des vidéos numériques, des enregistrements sonores ou des présentations multimédias. Ces documents peuvent être déposés sur CD, disque amovible, serveur, site web, I-Pod.
  • Quant au support hybride, il est une combinaison des deux supports précédents. On pourrait, par exemple, retrouver les réalisations de l’étudiant sur support papier et les réflexions et commentaires de l’étudiant et du professeur sur support électronique.

Des trois types de support, le portfolio électronique offre des avantages indéniables par rapport aux deux autres supports.

  • Il s’avère économique en terme d’espace.
  • Il est facilement révisable et modifiable.
  • L’étudiant peut ajouter ou supprimer des fichiers ou réorganiser son contenu par l’insertion d’hyperliens d’un document à l’autre.
  • Il peut être en ligne en partie ou en totalité entraînant ainsi une facilité de consultation.

Le support électronique présente aussi des inconvénients. Une des premières difficultés a trait à la nature même du support, l’environnement informatique. L’accès à l’ordinateur, la fiabilité des réseaux, la disponibilité des ressources humaines et techniques, l’espace disque de rangement suffisant (si le portfolio est sur un serveur) et la compatibilité de formats de fichiers sont quelques exemples de considérations à tenir compte. Une autre difficulté concerne l’accès aux informations privées. Le portfolio contient certains travaux de l’étudiant, des réflexions de lui-même et du professeur, des évaluations, des jugements sur ses forces et ses faiblesses. Limiter le nombre de personnes à intervenir dans le portfolio de l’étudiant, utiliser un code d’accès obligatoire pour consulter ou modifier le portfolio de l’étudiant sont des moyens à envisager (Amblard, 2004; Eyssautier-Bavay, 2004; MEQ, 2002). Ginette Bousq

Dans la pratique

L’implantation dans un programme

Élaboration du portfolio avec l’équipe programme

L’implantation d’un portfolio d’apprenant dans un programme demande d’abord et avant tout du temps. Dans un premier temps, l’équipe de professeurs doit prendre le temps de se questionner et d’échanger sur le but de l’utilisation du portfolio, choisir le ou les types de portfolio d’apprenant et le support désiré. L’élaboration du portfolio amène également des discussions relatives au contenu sous différents aspects.

  1. Quel devra être le contenu du portfolio? Le but poursuivi, le type de portfolio retenu et le secteur d’études sont des déterminants qui orientent le contenu à mettre dans un portfolio. Un programme technique avec ou sans stages et un programme préuniversitaire ont des finalités différentes, l’un prépare l’étudiant au marché du travail et l’autre, à poursuivre des études universitaires. Ainsi, le contenu du portfolio peut être différent selon les contextes. Il peut comprendre des documents colligés ou des productions personnelles. La nature du contenu peut être thématique, axée sur le développement professionnel, sur l’intégration des connaissances, etc.
  2. Ce contenu sera-il libre ou prédéterminé? On peut laisser les étudiants libres de déposer ce qu’ils jugent important ou décider que le contenu sera imposé par le professeur ou déterminé par l’étudiant et le professeur. Cela dépend du but poursuivi et du type de portfolio.
  3. Comment le contenu sera-t-il structuré? Il importera de produire une table des matières pour éviter la perte de repères.

Enfin, une des questions soulevées lors de l’implantation concerne celle de l’évaluation. Les critères d’évaluation utilisés doivent être établis par les professeurs du programme. Il est aussi important de faire connaître aux étudiants les critères retenus. La difficulté d’établir les critères réside dans la nature du matériel à évaluer. Comme le portfolio est constitué de documents, de réflexions et de commentaires, les critères d’évaluation sont plutôt qualitatifs. Voici quelques exemples de critères :

  • Le contenu est clair et univoque.
  • Le contenu est complet.
  • Le contenu est de qualité.
  • Démontre l’évolution de la compétence.
  • Démontre l’évolution de la réflexion sur les acquis par la pertinence des documents soumis, la cohérence entre la réflexion et les documents soumis

Une échelle ordinale (très satisfaisant, satisfaisant, peu satisfaisant) peut être utilisée pour graduer l’atteinte de chaque critère (Bélanger, 2003).

Utilisation du portfolio avec les étudiants

Prendre le temps de bien présenter le portfolio aux étudiants est un autre aspect à tenir compte. Pour que les étudiants puissent se l’approprier et y travailler régulièrement, ils doivent saisir le but poursuivi par le programme ou par le professeur et doivent prendre conscience qu’ils sont responsables de l’élaboration de leur portfolio. Si le but est mal compris, il y a risque que l’effort soit mis sur la présentation plutôt que sur l’analyse et la réflexion autour du processus d’apprentissage.

L’implantation du portfolio demande aussi du temps pour réfléchir et discuter. Les étudiants ont besoin de temps pour ce faire. L’un des objectifs du portfolio est de développer les capacités métacognitives de l’étudiant. Cela exige du temps en classe et hors classe. Qui dit réflexion, dit échange avec le professeur. Donc, des moments de discussion (ou de rétroaction) doivent être prévus et prédéterminés. Pour s’assurer d’une implantation réussie, un ou des cours porteurs doivent être désignés pour l’appropriation du portfolio par les étudiants à la première session et, par la suite, à chaque session, pour permettre les échanges avec le ou les professeurs (CEFES, 2005; Eyssautier-Bavay, 2004; Goupil, 1998).

D’autres utilisations du portfolio

Le portfolio d’apprenant peut devenir un portfolio professionnel lorsque l’étudiant du secteur technique entre sur le marché du travail. Un étudiant du secteur préuniversitaire peut poursuivre son portfolio à l’université. De plus en plus de facultés universitaires demandent d’ailleurs à leurs étudiants de se doter d’un portfolio. Dans la pratique, le portfolio d’apprenant peut également témoigner de la reconnaissance des acquis scolaires (travaux et expériences vécues) que l’étudiant considère significatifs et qui constituent une preuve de son cheminement et de ses compétences professionnelles.

Un exemple : l’activité d’intégration dans le programme des sciences humaines

L’activité d’intégration dans le programme des sciences humaines est inscrite au cursus scolaire de l’étudiant à sa dernière session collégiale. Ce programme est un programme préuniversitaire et, par conséquent, ne comporte pas de stages comme certains programmes techniques. La compétence de l’activité d’intégration s’énonce ainsi : Démontrer l’intégration personnelle d’apprentissages du programme. Lors de cette activité, l’étudiant effectue un bilan de ses apprentissages acquis lors de son passage dans ce programme. Ensuite, l’activité d’intégration demande de transférer ses apprentissages à l’intérieur d’un projet et, finalement, de porter une réflexion métacognitive sur sa démarche. Cette activité permet à l’élève de jeter un regard sur son cheminement scolaire et professionnel. L’utilisation du portfolio répond bien à cette activité d’intégration.

De par sa définition, le portfolio est un outil de collecte des travaux les plus significatifs pour l’apprenant. La composante bilan des apprentissages se retrouve à la fois dans le portfolio d’apprentissage et dans le portfolio de présentation. Ces deux types de portfolio servent aussi à la composante transfert des apprentissages lors d’une nouvelle activité cognitive. Enfin, la métacognition, troisième composante de l’intégration est étroitement reliée à la constitution du portfolio. Chaque document retenu par l’apprenant pour être inséré dans le portfolio doit être justifié.

Le portfolio électronique en sciences humaines au Cégep de Sherbrooke

Le portfolio électronique conçu pour le programme de sciences humaines au Cégep de Sherbrooke englobe les trois types de portfolio de l’apprenant : d’apprentissage, de présentation et d’évaluation. Au départ, le but poursuivi par l’utilisation du portfolio était de permettre à l’étudiant d’effectuer plus facilement et d’une manière plus significative son bilan des acquis dans le cadre de l’activité d’intégration. Le portfolio de présentation et d’évaluation a donc été expérimenté dans le cours porteur de cette activité depuis trois ans par plusieurs professeurs qui se sont portés volontaires.

L’implantation du portfolio d’apprentissage est plus récente et se fait à petits pas. Le Cégep de Sherbrooke compte une clientèle nombreuse dans ce programme. Par exemple, à l’automne 2005, ce sont 19 groupes de première session, plus de 45 professeurs de la formation spécifique qui sont répartis dans quatre profils. Une première expérimentation a été faite auprès d’un profil (Réalités internationales) à l’automne 2004. À la session automne 2005, ce sont deux profils (Réalités internationales et Administration) qui ont été retenus.

Présentement, la constitution du portfolio est sous la responsabilité de l’élève. Le rôle de l’étudiant est de compléter son portfolio au fur et à mesure des sessions. Le rôle des professeurs est de rappeler fréquemment aux étudiants de compléter leur portfolio. Au besoin, un professeur peut le regarder et émettre un commentaire formatif. À la suite de l’évaluation du programme, des ajustements sont susceptibles d’être amenés concernant l’implication du professeur pour assurer un meilleur suivi auprès des étudiants et de leur portfolio. Le professeur qui a la responsabilité de l’activité d’intégration et opte pour l’utilisation du portfolio a pour rôle d’évaluer le portfolio de présentation et la démarche métacognitive qui l’accompagne.

Les sections du portfolioLes sections du portfolio

Dans le portfolio apprentissage (la section « Mes apprentissages »), l’étudiant dépose ses différentes réalisations (travaux Word ou Excel, présentations multimédias, etc.) au fur et à mesure de chaque session. L’étudiant remplit une fiche métacognitive lors du dépôt de chaque réalisation. Cette fiche l’amène à être conscient des connaissances apprises, mais aussi à gérer ses processus mentaux (planification, contrôle, régulation). Il peut prendre conscience de certaines lacunes et tenter d’y remédier.

Le portfolio de présentation (la section « Mes bilans ») est conçu de telle manière que l’étudiant peut le remplir, idéalement, après chaque session ou attendre à sa dernière session collégiale. Chaque bilan de session comporte quatre parties.

  1. La première partie est l’endroit où l’élève met en évidence ses réalisations les plus significatives. Il doit justifier chacun de ses choix. Ceci l’amène à la pratique réflexive, à une prise de conscience de ses intérêts, de ses forces et de ses lacunes.
  2. Une seconde partie contient un questionnaire sur les habiletés et attitudes propres au programme de sciences humaines. En le complétant de session en session, cela permet à l’élève de suivre son cheminement. Il peut aussi établir des liens avec les habiletés et attitudes requises dans son futur programme universitaire.
  3. La troisième partie présente à l’élève une démarche d’orientation à compléter. L’insertion de ce type de démarche est justifiée par le fait que seulement un élève sur cinq arrive au cégep avec un projet d’orientation relativement précis (Fédération des cégeps, 1999). Des liens internet sont insérés dans la démarche et guident l’étudiant vers certains programmes universitaires.
  4. Dans la dernière partie du bilan de session, l’étudiant pose une réflexion globale sur son cheminement et est invité à porter une conclusion. Cette réflexion rejoint toutes les dimensions de la vie de l’élève, tant sur le plan scolaire que psychosocial.

Le portfolio de présentation contribue aux bilans de compétence, à la gestion d’une carrière (scolaire) et au développement professionnel.

La section « Mes réflexions » répond à trois moments critiques de la vie d’un cégépien. Jusqu’à maintenant, cette section a été laissée à la discrétion des étudiants. Les quelques commentaires recueillis auprès des étudiants sont en général positifs.

Les sections du portfolioLa section « Mes réflexions »

  1. Une première réflexion a lieu deux mois après son entrée au cégep. Les premières semaines sont déterminantes dans son intégration scolaire et psychosociale. Durant cette période, l’étudiant doit adopter de nouveaux comportements et s’approprier de nouvelles normes face à ses études et à sa vie affective et sociale. Pour certains, elle est vécue comme un choc. Ducharme (1990) parle du choc de l’autonomie.
  2. Le second moment est situé après la première année. La réflexion amène l’élève à confirmer ou non son choix de programme. D’après les données du Système d’indicateurs pour le suivi des étudiants par programme (S.I.S.E.P.), deux étudiants sur cinq quittent le programme des sciences humaines après une année.
  3. Le troisième moment se déroule lors de l’activité d’intégration et concerne son passage cégep – université.

Le portfolio d’évaluation prend l’allure d’un essai métacognitif dont le contenu s’alimente des réflexions faites par l’étudiant dans la section « Mes bilans » et aussi parfois, la section « Mes réflexions ». Les critères d’évaluation sont qualitatifs : contenu complet, clair, univoque, document attaché, cohérence entre document retenu et réflexion.

En bref, le portfolio électronique assure à l’étudiant une meilleure réussite scolaire, le guide dans sa démarche d’orientation et le familiarise avec cet outil avant son entrée universitaire.

Références utiles

  • Amblard, P. (2004). Guide juridique de l’internet scolaire : fiche 20. Educnet.
  • CEFES (2005). Apports du portfolio numérique en pédagogie. Université de Montréal.
  • Ducharme, R. (1990). L’intégration des nouvelles étudiantes et des nouveaux étudiants (problématique et interventions). Montréal : Fédération des Cégeps, Commission des affaires étudiantes.
  • Eyssautier-Bavay, C. (2004). Le portfolio en éducation : concepts et usages. Université de Grenoble (article diffusé lors du colloque Tice Méditerranée à Nice).
  • Goupil, G. (1998). Portfolios et dossiers d’apprentissage. Montréal : Éditions Chene-lière/McGraw-Hill.
  • Fédération des Cégeps (1999). La réussite et la diplomation au collégial, des chiffres et des engagements. Montréal : Fédération des Cégeps.
  • Ministère de l’Éducation du Québec (2002). Portfolio sur support numérique.
  • Université du Québec à Trois-Rivières (2005). Le portfolio.
  • Van Tartwijik, J. et Driessen, E. (2005). Typologie de portfolios électroniques. EUN.
S’abonner
Notification pour
guest

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires