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3 octobre 2011

Partage de documents synchrone / asynchrone dématérialisé

Ce texte a initialement été publié par Profweb sous licence CC BY-NC-ND 4.0 International, avant la création d’Éductive.

János Varga nous explique comment le partage de documents synchrone/asynchrone dématérialisé favorise la collaboration et promeut l’apprentissage actif chez les étudiants.

Table des matières

  1. État de la question
    1. Définition des termes
    2. Avantages pédagogiques et pratiques du recours au partage synchrone/asynchrone de documents
  2. Dans la pratique
    1. Applications pratiques et préoccupations courantes
    2. MI (messagerie instantanée) ou clavardage
    3. Barre temporelle
    4. Code de couleur
    5. Ouverture de session
    6. Exemple d’une session de travail en collaboration
    7. Exemple d’utilisation de la barre temporelle
    8. L’opinion des étudiants
  3. Références utiles

État de la question

De nombreux éducateurs sont désormais d’accord sur le fait que l’apprentissage actif mène à l’apprentissage approfondi. Pour faire ce type d’apprentissage, les étudiants ont besoin de lire, d’écrire, de discuter, de débattre et de participer les uns avec les autres de façon significative. Ils doivent travailler en collaboration et appliquer ce qu’ils ont appris. Ce type de collaboration est bien renforcé dans la classe où les étudiants peuvent interagir en équipe ou en groupe. Souvent, l’aménagement de la classe et la façon dont l’équipement et les chaises sont disposés créent une atmosphère propice à la socioconstruction du travail, mais les projets scolaires ne se résument pas à la période allouée à l’apprentissage en classe.

Comment soutenir et encourager les étudiants à continuer à participer les uns avec les autres à l’extérieur de l’école lorsque les travaux doivent être effectués après les heures de classe? Le courriel asynchrone et le clavardage par messagerie instantanée (MI) synchrone n’apportent que des solutions partielles à ce problème. Cependant, récemment, un nouveau groupe d’outils mixtes synchrones/asynchrones sont devenus accessibles et constituent une solution plus complète qu’avant. La recherche montre que ces outils favorisent non seulement la collaboration à l’extérieur de la classe, mais peuvent aussi l’améliorer en encourageant un apprentissage actif.

L’objectif de ce dossier est de discuter de l’expérience acquise grâce à l’utilisation d’outils Web 2.0 mixte synchrone/asynchrone. Aux yeux de plusieurs chercheurs, leur utilisation peut améliorer la participation des étudiants en favorisant la collaboration en classe et à l’extérieur, ce qui facilite l’apprentissage actif et entraîne des résultats positifs.

Cet article s’appuie sur les expérimentations pédagogiques faites avec l’outil de traitement de texte typewith.me et sur l’appréciation positive des étudiants. Ceux-ci voient en cette application un outil de partage de documents et de communication efficace et efficient lorsqu’ils participent à des projets en groupe.

Définition des termes

L’informatique dématérialisée ou en nuage est définie dans Wikipédia (2011) comme la livraison de ressources informatiques sur demande par l’entremise d’un réseau. On dit souvent de ces services internet abstraits offerts par un fournisseur qu’ils sont « en nuage ».

L’expression Web 2.0 est couramment associée aux applications Web qui permettent le partage d’informations en temps réel, l’interopérabilité, la conception centrée sur les utilisateurs et la collaboration sur la Toile. Selon Wikipédia (2011), avec le Web 2.0, ces utilisateurs peuvent choisir d’interagir ou de collaborer en dialoguant dans les médias sociaux à titre de créateurs et de consommateurs du contenu qu’ils génèrent au sein d’une communauté virtuelle. Les technologies du Web 2.0 peuvent être considérées comme le prolongement de la génération précédente d’outils Web qui présentaient l’information à l’utilisateur, mais qui ne permettaient pas une grande interaction (Hazari, North & Moreland, 2009).

Les technologies émergentes fournissent des occasions de collaboration entre le professeur et l’étudiant ainsi qu’entre les étudiants eux-mêmes en temps réel (synchrone) ou décalé (asynchrone). Beldarrain (2006) donne comme exemple de ces technologies la première génération de sites Web comme les courriels, les salles de partage et les babillards. Il prédit cependant que c’est la seconde génération d’outils, comme celui dont il est question ici, qui promet d’amener l’interactivité au niveau suivant afin de créer des environnements d’apprentissage agréables. Plusieurs outils d’apprentissage et d’enseignement de seconde génération ont été mis au point récemment. Ils combinent efficacement l’apprentissage mobile, l’interaction sociale et la collaboration. Même si la technologie collaborative est imparfaite sur le plan de l’instruction, selon Taran (2004), elle peut être conçue de façon à soutenir la participation active des étudiants, à atteindre des niveaux d’apprentissage supérieurs et à transformer positivement les pratiques pédagogiques.

Les technologies de l’information (TI) qui font partie d’une stratégie d’enseignement s’avèrent être une caractéristique importante dans la classe de nos jours. (Dans ce dossier, les termes Internet, TI et ICT sont utilisés de façon interchangeable). Au fur et à mesure que la technologie se développe, de nouvelles techniques, de nouveaux logiciels et de nouveaux outils deviennent accessibles. L’Internet comprend quantité d’outils puissants auparavant inimaginables, désormais à la disposition des enseignants.

Il n’y a pas que les étudiants de la génération Y (souvent appelés la génération Internet) – nés entre 1982 et 1991 – qui se sentent à l’aise avec l’Internet. Les jeunes qui sont nés après cette date sont encore plus à l’aise que les autres et s’attendent à utiliser les technologies en classe. Ces étudiants qui, pour la première fois dans l’histoire, sont plus calés en technologie que leurs parents, adopteront l’Internet en classe puisque leur utilisation de la technologie est sophistiquée et omniprésente. La recherche effectuée par la division Insight de Ypulse en septembre 2010 montre que 94 % des étudiants de la génération Y ont une page Facebook. Il est donc hautement probable que tous les étudiants de la génération Y qui fréquentent nos classes sont déjà en ligne et connectés. Il devient également évident qu’au fur et à mesure que la technologie progresse et favorise les travaux à l’extérieur de la classe, les étudiants utiliseront les facilités techniques offertes par les outils à distance. Ils préfèrent souvent continuer leurs travaux collaboratifs en groupe après l’école à partir de lieux comme la cafétéria, le café-restaurant ou la maison puisque tout ce dont ils ont besoin est une interface de navigation.

Avantages pédagogiques et pratiques du recours au partage synchrone/asynchrone de documents

Avantages pédagogiques

Le cadre conceptuel du socioconstructivisme mis au point principalement par Vygotsky (1962) et Piaget (1967) montre l’importance de l’interaction sociale pour l’apprentissage. Petress (2008) le relie à l’apprentissage actif et affirme que les étudiants qui partagent les résultats, échangent des opinions et débattent de sujets, sont des apprenants actifs typiques. Ces échanges ajoutent sensiblement à ce qui est appris. Ces apprenants jouent un rôle dynamique et énergique dans leur propre éducation. Grâce à la participation, l’apprentissage renforce la personne. Les étudiants ne sont pas trop dépendants des enseignants et ont tendance à se considérer comme des personnes ressources. L’apprentissage actif augmente la confiance, stimule la fierté et confère une crédibilité aux yeux du professeur, des camarades de classe et des parents. L’apprentissage devient plus agréable et plus satisfaisant sur le plan personnel et suscite une soif de comprendre davantage de choses en profondeur.

L’apprentissage en petits groupes, une méthode d’apprentissage actif soutenu par la théorie de l’apprentissage socioconstructiviste, est bénéfique à l’étudiant parce qu’il a la capacité de promouvoir la résolution de problèmes, la communication interpersonnelle et la pensée critique (Clark et coll., 2008). Petress (2008) renchérit : […] pour les apprenants, c’est non seulement une méthode plus énergisante, mais elle a aussi été associée avec une assimilation accrue de la matière (p. 1). Il a un effet positif sur la réussite de l’étudiant dans presque toutes les disciplines. Lorsque les étudiants sont encouragés à produire de nouvelles connaissances et à les partager publiquement, ils se sentent obligés de travailler du mieux qu’ils peuvent (Katz & Rezaei, 1999).

Les études indiquent que l’apprentissage en groupe à l’aide d’ordinateurs, comparé à l’apprentissage compétitif ou individualisé avec les ordinateurs, augmente la quantité et la qualité des accomplissements quotidiens, améliore la résolution de problèmes, augmente la performance en matière de reconnaissance factuelle et favorise la participation à l’apprentissage (Katz & Rezaei, 1999).

Avantages pratiques du partage de documents

Facilité d’utilisation et absence de confusion

Il est possible de créer une URL unique expliquant les détails du devoir à faire et de nommer les membres de l’équipe dès le départ pour toutes les équipes. Toute la classe peut voir cette information sur un site Web de gestion de cours partagés. Les équipes reçoivent des instructions et se penchent sur le document collaboratif à partir du moment où s’affiche le mot « Go ». Ces documents peuvent inclure les détails du devoir à faire.

Portabilité/accessibilité

Tout endroit offrant un accès à l’Internet peut être utilisé à l’intérieur ou à l’extérieur de la classe. Les équipes conviennent souvent d’un rendez-vous en ligne avant de quitter la classe.

  • L’enseignant peut non seulement suivre l’interaction de l’équipe, mais contribuer en prodiguant des conseils et en motivant les membres ou en envoyant des messages à des personnes sélectionnées. En ouvrant une session et en allant sur le document partagé, il peut se joindre à l’équipe, devenir une partie du processus plutôt qu’un simple observateur. Un avantage unique est créé ici : l’enseignant peut être témoin ou faire partie de l’évolution d’un devoir plutôt qu’en être le récepteur lorsqu’il est terminé. Il répond aux questions, clarifie les points, donne des orientations au fur et à mesure que les étudiants font leur devoir avant qu’ils ne le remettent.
  • L’archivage des étapes du travail en cours et de l’interaction peut être généré.
  • La publication entraîne une responsabilisation et, peut-être, un sentiment de compétition saine puisque ce n’est pas seulement l’enseignant qui reçoit le travail. Les pairs, les autres équipes ou même la classe au complet pourraient avoir accès au travail exécuté selon le niveau de partage défini par l’URL.

Dans la pratique

Applications pratiques et préoccupations courantes

Comparaison de la fonctionnalité de quelques outils de partage synchrone/asynchrone de documents

Une série d’outils sont devenus accessibles au cours de la dernière année. Ils sont nés de la publication, par Etherpad.org, d’un code source ouvert pour les applications de partage asynchrone/synchrone de documents. Ces outils améliorent les fonctionnalités bien connues, popularisées par Google Docs. Ils permettent l’utilisation de la messagerie instantanée et introduisent une fonction de barre temporelle.

Le tableau 1 présente cinq outils de partage synchrone/asynchrone et leurs caractéristiques.

Tableau 1 – Quelques outils accessibles sur Internet

Tableau 1 – Quelques outils accessibles sur Internet

Partage asynchrone/synchrone de documents

Les documents partagés, dont il est question dans ce tableau, possèdent des capacités synchrones et asynchrones :

  • Ils sont asynchrones parce qu’ils peuvent être mis à jour à n’importe quel moment, peu importe où et quand les autres utilisateurs sont en ligne.
  • Leur capacité synchrone signifie que les données peuvent être entrées dans le document en temps réel même lorsque les autres utilisateurs sont en ligne. On pourrait s’attendre à ce que l’entrée simultanée de données soit source de confusion pour les utilisateurs. Cependant, en pratique, les entrées n’interfèrent pas les unes avec les autres. Au contraire, la facilité de rédaction simultanée a tendance à créer une impression de dynamisme, d’interactivité et de collaboration entre les membres de l’équipe. Comme l’entrée au clavier de chaque personne comporte un code de couleur, on sait clairement qui rédige le texte et les équipes semblent apprécier le processus de cocréation dynamique.

Il faut cependant émettre une petite mise en garde : les équipes doivent être relativement petites et compter idéalement trois étudiants, et pas plus de cinq. Si les membres sont plus nombreux, il leur est plus difficile de suivre les commentaires et les entrées de chacun, ce qui peut entraîner de la confusion.

Figure 1 - Disposition de la fenêtre typewith.me

Figure 1 – Disposition de la fenêtre typewith.me

MI (messagerie instantanée) ou clavardage

La fenêtre du côté droit de l’écran facilite le clavardage entre les utilisateurs. Ces messages ne sont pas affichés en temps réel (contrairement au document partagé). Ils apparaissent sur la fenêtre des autres utilisateurs lorsque l’auteur appuie sur la touche « Entrée » à partir de son clavier.

Barre temporelle

Le document est versionné, ce qui permet de retourner indéfiniment en arrière et de voir le texte saisi et l’historique des entrées. Lorsque la barre temporelle est activée, l’application recrée la saisie du texte original, caractère par caractère, correction par correction et insertion par insertion et ramène le document à son état le plus récent. Il n’est pas possible d’effacer réellement une entrée parce que la barre temporelle montrera à la fois l’entrée et son effacement étant donné qu’elles se sont produites en temps réel.

Code de couleur

Chaque utilisateur est nommé et on lui attribue une couleur particulière. Une liste d’utilisateurs actifs et leurs couleurs associées sont toujours affichées au-dessus de la fenêtre de clavardage. Chaque message instantané et chaque entrée sur le document partagé,  effectués par cet utilisateur, se distinguent par la couleur qui lui a été attribuée. De cette façon, les contributions de chaque personne qui partage le document sont clairement visibles.

Ouverture de session

Pour certaines applications, il n’est pas nécessaire d’ouvrir une session. D’autres applications demandent un nom d’utilisateur et un mot de passe pour assurer la sécurité et pour limiter le nombre de collaborateurs qui contribuent à un document uniquement aux personnes désignées. D’autres applications offrent une option publique gratuite ainsi qu’une option professionnelle payante; cette dernière nécessite l’ouverture d’une session qui donne à l’utilisateur un accès à d’autres caractéristiques utiles.

Préoccupations courantes

Sécurité du document. Le tableau 1 montre des outils accessibles sur Internet. Pour certains, il faut ouvrir une session avec un nom d’utilisateur et un mot de passe. On pense peut-être que sans la procédure d’ouverture de session et sans mot de passe, les documents ne sont pas sécurisés et pourraient facilement être altérés.

C’est certainement valable si le sujet abordé dans le document porte à controverse. Il faudrait alors utiliser l’application qui offre une protection par l’entremise d’un mot de passe. Cependant, même un document non protégé par un mot de passe possède un degré élevé de sécurité grâce à sa longue URL. Chaque URL est composée de minuscules, de majuscules et de symboles numériques. Une URL de 10 caractères qui utilise à la fois des minuscules des majuscules comporte 1052 combinaisons possibles; la probabilité de découverte accidentelle ou délibérée est donc faible.

Les moteurs de recherche de Google peuvent également indexer une page d’un document partagé et la rendre accessible à un public qui ferait une recherche avec des mots-clés particuliers. Cette possibilité est inquiétante si le document contient des informations de nature délicate, mais la combinaison d’informations de nature non délicate et la courte vie du document (restreinte souvent à quelques semaines) réduira les conséquences possibles de l’indexation. (Voir le paragraphe sur l’Effacement des documents ci-dessous.)

Caractère transitoire des applications gratuites. Mise en garde sur l’utilisation des applications gratuites sur Internet : elles peuvent devenir sans effet à n’importe quel moment. Un programme peut cesser d’être soutenu. Cependant, la probabilité de perdre des données est réduite au minimum si on tient compte de cette possibilité et si on procède régulièrement à une exportation du document. Dans le passé, une application qui était mise hors service était inévitablement remplacée par une autre de performance égale ou meilleure.

Effacement des documents. À moins que le document soit en train d’être utilisé, il ne reste accessible que pendant une durée limitée. Le système réutilisera l’URL sans avertissement une à deux semaines après le dernier accès au document. Il est donc impératif d’exporter un document dans un logiciel de traitement de texte comme Microsoft Word pour un archivage à long terme si l’information doit être conservée pendant une période plus longue.

Confusion de couleur. Les membres de l’équipe ont à tout moment la possibilité de modifier leur code de couleur, bien que ce ne soit pas souhaitable. En effet, il vaut mieux garder le même code de couleur tout au long du processus collaboratif. Cependant, une personne qui ouvre une session peut se voir attribuer une couleur différente de celle qu’elle avait avant si elle ouvre sa session à partir d’un ordinateur différent du précédent. Si cela se produit, il est utile de conseiller aux étudiants de modifier leur couleur par celle qui leur a été attribuée au début pour permettre aux membres de l’équipe de suivre les entrées de chacun.

Exemple d’une session de travail en collaboration

Une équipe de trois personnes collabore pour écrire un haïku, une forme de poème japonais. La fenêtre de clavardage à droite montre la discussion et la fenêtre sur la gauche permet de voir les contributions de chacun au haïku.

Figure 2 – Capture d'écran montrant les messages envoyés pendant la rédaction d'un haïku

Figure 2 – Capture d’écran montrant les messages envoyés pendant la rédaction d’un haïku

Nous attirons votre attention sur l’information contenue dans l’URL. C’est très pratique d’inclure également les détails comme le titre du devoir et le nom des membres de l’équipe dans l’URL. Une fois que les liens vers le document typewith.me ont été reçus, toute l’information qu’une personne désire ajouter peut simplement être saisie. Cette nouvelle URL est ensuite copiée et collée dans la zone d’adresse du navigateur et communiquée aux membres de l’équipe. Par exemple, l’URL « http:/typewith.me/6idvmUuXEs » peut être modifiée pour « http:/typewith.me/Ass3MarkAnneAndrew6idvmUuXEs ». Non seulement cela améliore la sécurité, mais les utilisateurs savent exactement quelle équipe travaille sur le document.

Exemple d’utilisation de la barre temporelle

La fonction de la barre temporelle permet de revenir en arrière et de voir le texte saisi ainsi que son historique. L’activation de cette barre recrée le texte original entré, caractère par caractère, correction par correction et insertion par insertion et ramène le document à son état le plus récent. La figure 3 montre que l’activation de la fonction de la barre temporelle permet de voir la sauvegarde de 122 versions du document qui ont eu lieu dans le cadre de l’exercice de rédaction du haïku.

Figure 3 – Capture d'écran montrant ce qui s'affiche après l'activation de la fonction de la barre temporelle

Figure 3 – Capture d’écran montrant ce qui s’affiche après l’activation de la fonction de la barre temporelle

Un enregistrement permanent et indélébile de l’effort individuel et de la collaboration en équipe est accessible. Les données ne peuvent pas réellement être effacées à cause des fréquentes versions constamment sauvegardées au fur et à mesure de l’utilisation du document.

L’opinion des étudiants

Récemment, dans un de mes cours de communication, les étudiants ont utilisé typewith.me et ont partagé des documents pour communiquer en équipe dans le cadre des devoirs. Voici leurs commentaires :

  • Ça a été très utile et je pense que c’est un excellent outil pour faire les devoirs. Ça a été très intéressant de pouvoir partager l’information entre les groupes.
  • Ça a été une façon utile, facile et rapide de partager l’information et de faire les devoirs.
  • Je pense que c’est un outil fantastique pour amener tout le monde à collaborer à un projet. C’est comme si on était assis côte à côte… mais virtuellement.
  • Je pense que ça fonctionne très bien. C’est un bon outil qui facilite le travail d’équipe.

Références utiles

  • Article de Wikipédia sur le Web 2.0. Le terme Web 2.0 est associé aux applications Web qui facilitent le partage d’information, l’interopérabilité, la conception centrée sur l’utilisateur et la collaboration sur la Toile. Un site Web 2.0 permet aux utilisateurs d’interagir et de collaborer comme s’ils dialoguaient dans un média social : http://en.wikipedia.org/wiki/Web_2.0.
  • Hazari, S., North, A., Moreland, D. (2009). Investigating pedagogical implications of Wiki technology. Journal of Information Systems Education, 20(2), 187-198.
  • Taran, C. (Greenwich: 2004). Using Inexpensive Collaboration Software for Delivering Effective Online Synchronous Training. Distance Learning. 1(6), 21-26.
  • Dans un article publié sur Profweb intitulé « Plan d’intégration des TIC », Roger De Ladurantaye explique la confusion possible entourant l’utilisation de ces termes. Il précise qu’en anglais, IT signifie Information Technology et qu’ICT signifie Information and Communication Technology. Ce sont des synonymes. En français, l’expression la plus couramment utilisée est TIC, soit technologies de l’information et de la communication [www.profweb.ca/publications/dossiers/plan-d-integration-des-tic]
  • L’expression « Génération Y » – également connue sous les appellations « GenY » (ou « génération du millénaire »), « les suivants », « l’e-Génération », « les écho-boomers » – fait référence à la cohorte démographique qui suit la génération X. Plusieurs dates de naissance lui sont attribuées. Selon Wikipédia, les spécialistes utilisent des dates allant des années 1970 au début des années 2000; voir http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9n%C3%A9ration_YYPulse situe les dates de naissance entre 1982 et 2004. Selon les sociohistoriens Howe et Strauss, la Génération du millénaire renvoie aux personnes nées entre 1982 et 2002 [http://eubie.com/millennials.pdf.]
  • « Social Network Disconnect » vendredi 8 octobre 2010, 10:24. Dan Coates, président de Ypulse, une sommité en matière de préadolescents, d’adolescents, de collégiens et de jeunes adultes, publie un article dans Mediapost sur une recherche effectuée par la division Insight de l’entreprise en septembre 2010 sur l’utilisation de la technologie chez les personnes de la génération Y en se référant à celles nées entre 1982 et 2004. [http://www.mediapost.com/publications/?fa=Articles.showArticle&art_aid=137299&lfe=1]
  • Petress, K. (Chula Vista: Été 2008). What is meant by « Active Learning? » Education. 128(4), 566-570.
  • Clark, M.C., Nguyen, H.T., Bray, C., Levine, R.E. (Thorofare: Mar 2008). Team-Based Learning in an Undergraduate Nursing Course. Journal of Nursing Education. 47(3),  111-118.
  • Katz, L., Rezaei, A. (Toronto: Été 1999). The potential of modern telelearning tools for collaborative learning. Canadian Journal of Communication, 24(3), 427.
  • Voici un lien que propose Etherpad. Il s’agit d’une liste de sites de partage de documents. Ces sites ne sont pas affiliés avec la fondation Etherpad qui affiche une mise en garde concernant le référencement des documents partagés dans Google. Le problème de sécurité est discuté dans la rubrique Document Security. [http://etherpad.org/] (sélectionner la rubrique Public Sites)
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