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14 octobre 2015

Des projets étudiants stimulants avec Google Apps Éducation!

Ce texte a initialement été publié par Profweb sous licence CC BY-NC-ND 4.0 International, avant la création d’Éductive.

Le 4 mars 2015, Marie-Josée Desrochers, conseillère technopédagogique au Collège de Rosemont, a invité quatre enseignants de son établissement à partager leur expérience avec les outils Google Apps Éducation dans le cadre d’un webinaire organisé par le réseau des REPTIC. Les enseignants ont utilisé les outils Google Apps dans leur discipline respective pour faciliter le travail collaboratif, la remise des travaux et la gestion des activités d’apprentissage et d’évaluation. Les cinq présentateurs du webinaire vous invitent à découvrir le potentiel de ces outils à travers le récit de leur expérience.

Marie-Josée Desrochers

Précisions concernant l’approche pédagogique

Dans la perspective de développer des activités d’apprentissage ou des évaluations inclusives, la facilité d’appropriation des outils de Google Apps Éducation pourrait permettre la production d’activités d’apprentissage diversifiées pour les élèves ou par les élèves avec les technologies dans les nuages, selon l’approche de la conception universelle de  l’apprentissage (CUA) ou de la différenciation pédagogique.

À travers des projets porteurs pour les programmes, cet environnement est orienté à la fois sur les besoins de l’enseignant (notamment pour l’encadrement des élèves), mais aussi sur ceux des étudiants, puisque leurs applications pédagogiques sont variées et favorisent le développement de méthodes de travail :

  • pédagogie de première session 
  • compétences informationnelles et professionnelles transférables, grâce à l’approche par projet
  • habiletés relationnelles et conscience éthique, grâce au travail collaboratif
  • habiletés technologiques sur le web 2.0
  • sensibilisation à l’identité numérique
  • acquisition de nouvelles habitudes, qui s’inscrivent dans le contexte « vert » du Collège (ex. : utilisation de l’agenda électronique)

L’acquisition d’habiletés particulières sur les plans informationnel et technologique fait partie intégrante des activités d’apprentissage proposées par les enseignants du webinaire. Par contre, il ne s’agit pas d’un objectif explicitement énoncé dans le plan de cours. Les objectifs d’apprentissage recoupent ceux qui sont présentés par des cadres de référence comme le Profil TIC, mais ils ne sont ni modulés ni formulés à l’intérieur de ce cadre. Ils sont plutôt sous-jacents : c’est la nature même des activités proposées (approche par projet), du mode d’apprentissage privilégié (collaboratif) et du type d’outils utilisé (numériques) qui en favorise l’acquisition.

Des applications pour faciliter la gestion des comptes étudiants

J’ai découvert les outils Google Apps lorsque je cherchais une alternative au portfolio numérique SHERPA, qui allait fermer ses portes. Parmi les outils offerts, les applications Google Éducation se sont démarquées en raison de leur gratuité et de leur facilité d’utilisation.

J’ai créé une communauté sur Google Apps Éducation (crosemont.net) dans le cadre d’un projet pilote démarré en avril 2014, puisqu’il s’agit d’une solution gratuite pour les établissements d’enseignement. L’implantation officielle aura lieu à la session d’automne 2015. Cette communauté facilitera grandement la gestion des comptes d’étudiants, puisque la plateforme permet leur inscription massive, sans qu’ils n’aient à ouvrir des comptes Gmail au préalable. La communauté est un lieu protégé, mais les étudiants pourront exporter leurs projets au terme de leurs études.

L’application pour portfolio numérique Google Site –  qui a orienté la décision du Collège d’aller de l’avant avec le projet Google Apps Éducation –  possède des fonctionnalités semblables à celles qui se retrouvent dans d’autres outils d’édition. Les niveaux de partage sont variés et offrent différents niveaux de complexité appréciables. De plus, il est possible pour l’enseignant de suivre la progression de ses étudiants grâce à des fonctions de commentaire, qu’il peut inscrire directement dans les travaux.

La facilité qu’offre Google Site (et la plupart des applications Google) pour établir des liens entre différentes applications, comme un agenda électronique ou une vidéo YouTube, est aussi un aspect qu’apprécient à la fois les enseignants et les étudiants pour le partage des consignes, des échéances et des travaux. Un exemple intéressant est le potentiel de Google Agenda qui permet de planifier une rencontre pour du tutorat, une période de travail d’équipe en ligne ou une rencontre de suivi de stage pour les étudiants éloignés, en intégrant automatiquement l’option d’une rencontre sur Hangouts (visioconférence) dans le rendez-vous de l’agenda.

Interface de Google agenda

L’application Google Agenda permet de planifier facilement des rencontres.

Cette liaison et cette synchronisation entre les applications allègent considérablement la gestion des documents. Concernant YouTube, il permet :

  • l’enregistrement d’une entrevue (et sa mise en ligne, si nécessaire)
  • l’édition d’un document visuel
  • le stockage en mode privé, public ou non répertorié

Le fichier final peut être inséré dans le portfolio (Google Site) d’un étudiant à des fins d’évaluation par l’enseignant. Cependant, l’édition dans les nuages n’est pas recommandée pour le traitement ou le téléversement de gros fichiers vidéo. Il est important de préciser que Google Apps Éducation ne remplace pas les logiciels de production professionnelle comme Adobe Creative Suite.

Capsule Google Apps Éducation de Marie-Josée Desrochers

Mélanie Roy

Des applications pour faciliter le travail collaboratif et la remise des travaux

J’ai exploré les applications Google dans plusieurs de mes cours pour répondre à différentes problématiques, dont celle de faciliter le dépôt de résumés schématiques dans le cours d’Histoire de la civilisation occidentale. Je demande à mes étudiants de réaliser des cartes conceptuelles à partir de leurs lectures. Ils utilisent des logiciels en ligne comme MindMup et MindMeister, et l’application Google Classroom facilite la remise des schémas élaborés par les étudiants.

J’ai aussi tenté l’expérience Google Apps Éducation dans une volonté de faciliter le travail collaboratif, en classe et hors classe. Je cherchais des applications où il serait facile, pour les étudiants (et pour moi-même), de s’y retrouver sans avoir à suivre une formation. Puisque les applications Google ont toujours des fonctions similaires au niveau de la création et du partage de contenus, et que leur niveau de complexité est assez bas, elles me paraissaient tout indiquées pour les étudiants de première session.

Je n’ai consacré qu’une heure environ de mon cours, en début de session, pour présenter Google Classroom et Google Drive à mes étudiants : ils se sont rapidement approprié ces outils et ils n’ont pas tardé à découvrir des nouvelles fonctions que je ne connaissais pas moi-même ! Google Classroom permet de créer des espaces pour annoncer et remettre les évaluations et les travaux. Google Drive permet aussi une grande flexibilité dans la gestion des paramètres pour les documents qui  y sont déposés. Je peux donc rendre un document :

  • Consultable par tous les étudiants, mais non modifiable (consignes pour les travaux et examens)
  • Modifiable par tous les étudiants (documents coopératifs et collaboratifs)
  • Modifiable par un seul étudiant (travaux ou évaluations à compléter sur une base individuelle)

Il est facile pour les étudiants de compléter et de soumettre un document. De mon côté, j’ai accès à un tableau des remises qui m’indiquent combien d’étudiants ont soumis un travail. Je peux facilement paramétrer la date et l’heure des échéances et consulter l’historique de remise des travaux pour vérifier s’il y a des retards.

Dans mon cours Initiation à la recherche en sciences humaines, j’ai remarqué un problème récurrent avec les travaux d’équipe. Les horaires disparates des étudiants compliquaient la communication entre les membres de l’équipe. Les travaux manquaient souvent d’uniformité et donnaient plutôt l’impression d’un collage. L’utilisation de Google Docs et de Google Drive a permis de solutionner ce problème. Les deux applications facilitent la collaboration, puisque les étudiants peuvent contribuer à un travail de manière simultanée. Même s’ils y travaillent à des moments différents, ils peuvent aisément suivre la progression de leurs coéquipiers, car toutes les modifications sont faites dans seul et même document. Ces applications favorisent l’harmonisation du contenu et du style d’écriture dans les travaux d’équipe. Puisque leur apparence et leurs fonctionnalités ressemblent beaucoup à celles des logiciels que les étudiants utilisent (ex. : Word), elles ne nécessitent aucune formation supplémentaire de la part des étudiants.

Je peux aussi suivre la progression des équipes et offrir une rétroaction écrite dans le document, au fil de son élaboration par les étudiants. Je peux même intégrer un commentaire audio (en utilisant Kaizena) pour éviter de surcharger le document avec de longs commentaires.

Avec Google Classroom, il n’est pas possible de préparer des consignes à l’avance et de les activer seulement au moment souhaité. Le contenu est visible dès qu’il y est déposé. Je prépare plutôt mes consignes à l’avance sur Google Drive et je les dépose sur Google Classroom au moment voulu pour que mes étudiants puissent les visualiser.

Capsule Google Apps Éducation de Mélanie Roy

Louis Normand

Des applications pour assurer un suivi interactif

J’enseigne la physique au Collège de Rosemont et je m’implique particulièrement dans la classe d’apprentissage actif. J’utilise l’application Google Classroom dans le cours Activité d’intégration en Sciences de la nature. Je dois évaluer des compétences comme l’application de la démarche scientifique, le travail d’équipe et l’utilisation des technologies de l’information. Par contre, il y avait des problématiques récurrentes au niveau de la co-évaluation par les pairs, de l’évaluation formative pour la rédaction des travaux et du suivi lors de la collecte de données, qui se fait hors classe. Cette année, j’ai décidé d’utiliser Google Classroom.

J’appréhendais la réticence des étudiants, puisque le Collège utilise déjà d’autres plateformes, comme LEA et Moodle ; mais lorsque je leur ai annoncé qu’il y avait une application téléchargeable sur leurs appareils mobiles, ils ont immédiatement été conquis. Moodle offre beaucoup d’outils intéressants (forums, tests, remise de devoirs, partage de documents) et je l’utilise dans d’autres cours. Mais le partage de documents est complexe, surtout pour distribuer des documents individuellement. Avec Google Classroom, il est plus facile de paramétrer les options de partage. J’utilisais déjà certaines applications, comme Google Drive et Google Docs, mais la principale force de Google Classroom, c’est la collaboration.

Dans le cadre de leur cours d’intégration, les étudiants doivent réaliser un projet scientifique en équipe. Il s’agit d’un travail évolutif au cours de la session, suivant les étapes de la démarche scientifique. À chaque étape, les étudiants me remettent leur travail dans Classroom : j’en deviens alors propriétaire. Les étudiants auront temporairement accès à leur travail en mode lecture seulement. Lorsque je leur rends le document corrigé, les étudiants redeviennent propriétaires et disposent à nouveau de tous les accès. Je peux visualiser les commentaires inscrits dans le document (les miens ou ceux de mes étudiants) pendant la session. Ces options de partage et de suivi des modifications facilitent grandement le travail collaboratif.

Google Classroom me permet aussi d’effectuer un suivi interactif auprès des étudiants tout au long de la session. Par exemple, je demande à mes étudiants de rédiger un journal de bord individuel, qu’ils doivent me remettre au terme de l’étape de la collecte de données. Sur Google Classroom, je peux voir qu’aucun étudiant n’a encore complété le travail. Cependant, en cliquant au hasard sur le nom d’une étudiante, je constate qu’elle a déjà commencé son journal. Google Classroom me permet donc de consulter et de commenter un travail qui n’a pas encore été remis :

  • pour répondre à des questions qui auraient été inscrites dans le document
  • pour m’assurer de la compréhension de l’étudiant et du respect des consignes
  • pour offrir une rétroaction positive si l’étudiant est dans la bonne voie

Google Classroom offre des modèles de notation limités (ex. : sur 1, 20, 50 ou 100 points), mais il est possible de les modifier manuellement. Par contre, il n’est pas possible d’extraire les notes inscrites dans Google Classroom vers Moodle ou LEA. J’inscris plutôt les notes officielles dans la plateforme LEA. Je les communique ensuite à mes étudiants dans Classroom pour les informer de la note qu’ils ont obtenue.

Capsule Google Apps Éducation de Louis Normand

Marie-France Raymond-Dufour

Recréer un jeu sérieux (smart game) à partir de Google Site

Je suis enseignante au département de français du Collège de Rosemont. Je suis entre autres responsable du cours Production de textes français 1. Ce cours s’adresse aux étudiants de Techniques de bureautique, microédition et hypermédia. Je m’adresse donc à une clientèle qui est déjà plus à l’aise avec les technologies, puisqu’ils apprennent à créer des sites web et à faire de l’édition et de la mise en page.

Au cours de la session d’automne 2014, au cours d’un exercice visant à rédiger un résumé d’article, j’ai été surprise de constater que parmi le choix de textes qu’ils devaient commenter, la quasi-totalité des étudiants avait choisi celui qui portait sur les jeux sérieux (smart games). Je ne disposais  évidemment pas des ressources technologiques pour élaborer des jeux de rôles interactifs aussi complexes, mais je m’en suis inspirée pour développer des activités d’apprentissage en production écrite, avec une trame narrative qui traverse la session. Les étudiants doivent créer plusieurs types de documents administratifs. Pour réaliser ces tâches, je leur demande de se créer une entité administrative fictive, en fonction de leurs intérêts.

Les étudiants se font ensuite attribuer un site dans Google Site dans lequel ils doivent réaliser toutes leurs activités d’apprentissage. En voici quelques exemples :

  • Personnaliser le site selon la mission de leur entité fictive
  • Élaborer un organigramme détaillé de leur entité sur CmapTool
  • Créer une brochure (document papier) composée d’éléments qui seront éventuellement inclus dans la page promotionnelle de leur entité fictive
  • Réaliser une page promotionnelle pour leur entité dans un portfolio numérique
  • Pour la thématique de l’embauche : rédiger divers documents administratifs comme une offre d’emploi, une lettre de candidature, une lettre d’acceptation et de refus. Cette activité était ludique, car les étudiants devaient se faire engager par leur propre entité : plusieurs d’entre eux se sont donc créés des pseudonymes ou des « avatars » pour jouer à la fois le rôle de l’employeur et celui du candidat, et ainsi assurer une correspondance écrite entre ces deux personnages.

Pour représenter plus fidèlement les réalités du milieu professionnel, j’inclus les consignes initiales pour les travaux dans le site. Les étudiants peuvent les consulter dès le début de la session, mais je me plais à ajouter un degré de difficulté : je rajoute des consignes « surprises » en cours de session, sans pour autant modifier les dates de tombée. L’objectif est de garder l’intérêt des étudiants, mais aussi de les initier à une situation professionnelle authentique, puisque la contrainte de l’organisation du temps est une réalité du milieu dans lequel ils feront carrière.

Capsule Google Apps Éducation de Marie-France Raymond-Dufour

France Lavoie

Du portfolio d’apprentissage au portfolio professionnel

J’enseigne dans le programme de Techniques de recherche sociale (TRS), à des étudiants dont le profil est hétérogène : ils ont souvent un passé collégial ou universitaire, appartiennent à différentes tranches d’âge et possèdent des habiletés informatiques de niveau variable. L’une des spécificités du programme est que les étudiants doivent fréquemment réaliser des projets d’équipe, parfois même des projets qui impliquent le groupe en entier. Le travail collaboratif représente une dimension importante de leur formation collégiale et des outils numériques comme Google Apps Éducation en facilitent grandement le déroulement.

Dans le programme de TRS, les étudiants doivent développer des habiletés et des ressources diverses : ils travaillent à partir de questionnaires, réalisent des entrevues, font de l’analyse qualitative et quantitative, etc. À l’instar de mes collègues, j’étais soucieuse de leur offrir un bagage de compétences polyvalentes pour faciliter leur transition vers le monde du travail. Le projet de portfolio numérique se prêtait parfaitement à cet objectif. Ce projet a démarré en 2013, mais dès 2014, j’ai décidé de me tourner vers Google Site en raison de sa simplicité et de sa facilité d’utilisation.

Le principal défi du projet de portfolio professionnel était de l’implanter dans l’ensemble du programme. L’utilisation de Google Apps Éducation a facilité le processus, puisque les enseignants l’utilisaient déjà entre eux pour effectuer du travail d’équipe. Google Site permet aussi de former des catégories et d’y regrouper des étudiants. Il s’agit d’une fonctionnalité particulièrement intéressante si un enseignant se retrouve devant une longue liste d’étudiants.

Construire un portfolio professionnel est une opération relativement complexe pour un étudiant de première session qui ne connaît pas encore les réalités de son futur milieu professionnel. Le projet de portfolio est donc intégré à l’intérieur des cours du programme de TRS, de manière à ce que les étudiants y déposent ponctuellement du matériel et amassent, tout au long de leurs études, des collections qui témoignent de leur parcours et de leur progression (portfolio d’apprentissage). À leur dernière session d’études, les étudiants amorcent une réflexion plus poussée et choisissent, parmi les éléments recueillis, ceux qu’ils intégreront à leur portfolio professionnel.

L’un des principaux avantages des outils infonuagiques pour les étudiants, c’est qu’ils n’ont plus autant à se soucier de la possibilité d’égarer leurs fichiers ou leur clé USB en cours de session. Puisqu’il s’agit d’un espace réservé, ils ne craignent pas non plus d’y déposer leurs documents : la gestion des travaux s’en trouve donc facilitée. De plus, la fonction de partage de dossiers permet à l’équipe enseignante d’offrir une rétroaction aux étudiants par rapport à leur système de classification et de gestion des documents numériques. Initier les étudiants à ces outils résulte fréquemment en une intégration durable : plusieurs étudiants, après avoir expérimenté ces outils pendant leur première session, les utilisent ensuite pour d’autres projets ou transposent cette habitude dans leur utilisation personnelle du numérique.

Capsule Google Apps Éducation de France Lavoie

Profweb tient à remercier le réseau des REPTIC d’avoir fourni les capsules vidéo du webinaire.

À propos des auteurs

Marie-Josée Desrochers est conseillère technopédagogique au collégial depuis 2004 et au Collège de Rosemont depuis 2010. Elle s’intéresse particulièrement à l’identité numérique, à la CUA et au développement de projets technologiques en infonuagique et en mode hybride. Elle a aussi enseigné en Techniques d’intégration multimédia au collégial ainsi qu’auprès des jeunes en difficulté.

Mélanie Roy est enseignante d’histoire au programme de Sciences humaines du Collège de Rosemont depuis 2007. Passionnée par la didactique de l’histoire, elle s’intéresse également aux TIC relativement à l’enseignement et l’apprentissage.

Louis Normand enseigne la physique au collégial depuis 1994 et au Collège de Rosemont depuis 1998. Il s’intéresse particulièrement à l’utilisation des TIC dans un contexte de classe d’apprentissage actif et à l’approche par projet dans l’enseignement des sciences au collégial.

France Lavoie enseigne au programme Techniques de recherche sociale au Collège de Rosemont. En compagnie de l’ensemble des collègues du programme, ils travaillent à l’intégration d’un Portfolio professionnel numérique qui s’inscrit dans l’ensemble de la formation.

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4 Commentaires
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Maxime Ross
Maxime Ross
1 avril 2015 17h30

Merci pour ce partage d’expertise plus qu’intéressant !

Isabelle Delisle
Isabelle Delisle
2 avril 2015 15h27

Bravo pour ce bel article qui saura en inspirer plusieurs!

Guillaume Vachon
Guillaume Vachon
9 avril 2015 15h39

La nouvelle sur le site du Cégep de Rosemont : http://www.goo.gl/SKtfnT

Nicole Perreault
Nicole Perreault
16 avril 2015 18h30

Bravo pour ce projet si rassembleur, mais également si stimulant tant pour les étudiants que pour les enseignants.