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Ce texte a initialement été publié par Profweb sous licence CC BY-NC-ND 4.0 International, avant la création d’Éductive.

Vous êtes à la recherche de façons de mettre à profit les séances synchrones de votre cours en ligne pour réellement amener les étudiants à maîtriser la compétence ciblée? Peut-être qu’un tableau collaboratif virtuel pourrait vous aider.

Cet article met l’accent sur l’utilisation des tableaux virtuels par les étudiants en groupes ou en équipes (avec ou sans l’enseignant). Toutefois, les outils proposés peuvent tous aussi être utilisés par un enseignant seul pour:

  • servir de support visuel pendant une visioconférence ou une vidéocapture d’écran
  • produire un document visuel que les étudiants peuvent consulter en ligne sans le modifier

Utilisations pédagogiques d’un tableau virtuel collaboratif

Un tableau collaboratif peut être utilisé en grand groupe ou en équipes.

Les utilisations pédagogiques possibles d’un tableau virtuel sont nombreuses.

Par exemple, vous pouvez utiliser un tableau virtuel en guise de « billet d’entrée » ou « billet de sortie » pour un cours: demandez aux étudiants de faire un retour sur les activités préparatoires au cours ou sur les activités réalisées pendant le cours.

Un exemple de l’utilisation d’un tableau virtuel collaboratif comme « billet d’entrée ». Les étudiants doivent nommer une chose qu’ils ont apprise en regardant une vidéo préparatoire. Exemple réalisé avec Microsoft Whiteboard.

Les étudiants peuvent:

  • Coconstruire

    • le résumé d’un chapitre
    • le plan d’une dissertation
    • une ligne du temps
    • une carte conceptuelle
    • etc.
  • Explorer des pistes de solutions à un problème (dans une démarche d’apprentissage par problème, par exemple)
  • Monter un plan d’action pour réaliser un projet (dans une démarche d’apprentissage par projet, par exemple)

Fonctionnalités usuelles

Les fonctionnalités des tableaux collaboratifs varient selon l’application qu’on utilise.

Plusieurs permettent d’insérer:

  • des annotations « manuelles » (avec un stylet, à la main sur un écran tactile ou avec la souris)
  • des formes, des lignes, etc.
  • des notes tapuscrites, à la manière de papillons adhésifs (Post-it) ou autrement
  • des images issues du web ou de votre appareil

Certains permettent d’insérer:

  • des hyperliens
  • des fichiers PDF
  • des éléments interactifs

Certains tableaux collaboratifs en ligne permettent d’identifier les auteurs de chacune des contributions (bien que ceux-ci puissent, dans certains cas, utiliser des pseudonymes).

Quelques options pour des tableaux collaboratifs virtuels

Microsoft Whiteboard

Le tableau blanc Whiteboard de Microsoft peut être utilisé dans Teams ou indépendamment.
Microsoft Whiteboard existe en une version web ou en une application de bureau (déjà présente sur les appareils exploitant Windows 10 ou téléchargeable). La version de bureau offre davantage de fonctionnalités.

Les tableaux Whiteboard peuvent être exploités autant en mode synchrone qu’asynchrone. Les modifications apportées par les différents utilisateurs (s’il y a lieu) s’affichent en temps réel pour les autres.

Dans toutes les versions, Microsoft Whiteboard permet:

  • l’annotation manuscrite de différentes couleurs
  • l’ajout de texte
  • l’ajout de notes (papillons adhésifs; Post-it)

Le canevas a une taille illimitée; on peut occuper autant d’espace que l’on veut.

Le contenu des tableaux peut être exporté en format image (PNG).

Des étudiants peuvent coconstruire le plan d’une dissertation avec Microsoft Whiteboard. C’est l’interface de l’application de bureau (sur ordinateur) qui est illustré. (Source des informations utilisées pour le contenu du plan de dissertation: CCDMD)

La version de bureau est significativement plus riche que la version web. Elle offre en plus:

  • un surligneur
  • le changement de la couleur du texte tapuscrit ou de l’arrière-plan des notes.
  • davantage de couleurs pour les annotations manuscrites; incluant les multicolores « arc-en-ciel » et « galaxie ».
  • davantage de modèles et de couleurs d’arrière-plans
  • l’ajout de mentions « J’aime » aux différents éléments ajoutés
  • l’insertion d’hyperliens (il suffit de copier-coller l’URL ciblée sur le tableau; un aperçu de la page apparaîtra)
  • l’insertion d’images (à partir de votre appareil ou de Bing)
  • l’insertion d’autocollants
  • l’insertion de photos prises par votre appareil, à même l’application
  • l’insertion de documents PDF, Word ou PowerPoint
  • une règle pour tracer des lignes droites
  • une fonction d’embellissement de l’écriture manuscrite: l’application reconnaît bien ce que vous avez écrit et remplace votre écriture par des caractères plus lisibles.
  • l’insertion de liste de suivis: des tâches peuvent être créées et attribuées aux différentes personnes qui ont accès au tableau.
  • le lecteur immersif pour entendre lire le contenu textuel des éléments du tableau
  • l’utilisation de modèles (gabarit), comme « remue-méninges », « Kanban » ou « SVA » (ce que vous savez, ce que vous voulez savoir et ce que vous avez appris).

Le modèle SVA de Microsoft Whiteboard utilisé dans le cadre d’une activité (fictive) d’apprentissage par problème en équipe au sujet de l’effet photoélectrique

Les tableaux Whiteboard peuvent être partagés uniquement avec les membres de votre organisation (étudiants ou membres du personnel de votre collège). Le partage peut être fait:

  • en invitant les personnes une ou à une
  • en obtenant un lien de partage (valide uniquement à l’intérieur de votre organisation)
  • en publiant dans Teams ou OneNote

Le tableau blanc peut être démarré directement à l’intérieur d’une réunion Teams. Cliquez sur « Partager du contenu », puis « Tableau blanc collaboratif ».

Quand une personne ajoute du contenu sur le tableau, ses initiales apparaissent pendant un moment à côté de sa contribution. L’utilisation de pseudonyme n’est pas possible étant donné que l’accès au tableau requiert une connexion au compte Microsoft attribué par l’établissement.

Tableau blanc de Zoom

Pour une utilisation en mode synchrone, le tableau blanc de Zoom est une autre option, particulièrement intéressante pour les personnes qui utilisent déjà Zoom. Il est disponible autant dans la version gratuite que dans les versions payantes de Zoom.

Pour l’activer, il faut cliquer sur « Partager l’écran », puis choisir le tableau blanc. Vous pourrez écrire ou dessiner, et les participants de la visioconférence pourront le faire également (sans que les auteurs des annotations ne soient identifiés).

Le tableau blanc de Zoom permet de:

  • taper du texte
  • dessiner à main levée ou écrire à la main
  • insérer des formes géométriques
  • insérer des marques (crochets, étoiles, flèches)

En fait, ce sont les mêmes possibilités que celles offertes pour l’annotation de n’importe quel partage d’écran dans Zoom.

Le canevas du tableau blanc a une taille limitée, mais des pages peuvent être ajoutées en un clic. Le contenu des tableaux blancs peut être enregistré automatiquement en format image lorsqu’on met fin à la réunion, si cette option est activée dans les paramètres de votre compte Zoom.

Whiteboard.chat

Whiteboard.chat est un site web dont l’utilisation est complètement gratuite. C’est un outil très complet et très fonctionnel.

Whiteboard.chat se démarque par le fait qu’en plus d’offrir un tableau blanc sur lequel les étudiants (et l’enseignant) peuvent collaborer en temps réel, il permet également à un enseignant de créer un tableau blanc pour chacun des étudiants (ou chaque équipe d’étudiants) et de voir sur son écran l’ensemble des tableaux des étudiants qui évoluent en temps réel.

En prime: un outil de visioconférence intégré, avec possibilité de créer des salles de petits groupes.

L’interface de Whiteboard.chat est en anglais seulement.

Aperçu de certaines fonctionnalités de Whiteboard.chat (en anglais). Source: Whiteboard.chat [en anglais]

Sur les tableaux offerts par Whiteboard.chat, on peut:

  • taper du texte
  • dessiner à main levée ou écrire à la main
  • insérer des lignes
  • insérer des fichiers image ou PDF
  • insérer des sondages interactifs (questions à choix multiples)

Une image collée sur un tableau collaboratif de Whiteboard.chat est annotée par les étudiants. (Source de l’image collée: Suzanne Léger, Interscript inc. Image déposée dans Le monde en images)

Les différents éléments d’un tableau peuvent être animés (on peut les faire bouger ou pivoter).

Le tableau Whiteboard.chat d’un étudiant annoté par son enseignant

Et comme dit plus haut, on peut, à partir d’un tableau Whiteboard.chat, démarrer une visioconférence avec les personnes présentes. On peut alors basculer en un clic de l’affichage du ou des tableaux à celui des caméras. On peut:

  • enregistrer la visioconférence
  • clavarder avec les participants
  • diviser les participants en salles de petits groupes où ils peuvent collaborer sur un tableau commun.

Les tableaux ont une taille fixe, mais peuvent compter plusieurs pages. Ils sont téléchargeables en format PDF.

Les curseurs des différentes personnes apparaissent sur les écrans de tous, accompagnés d’une étiquette qui les identifient (nom ou pseudonyme de la personne). Au départ, chaque participant a une couleur d’encre différente, mais celle-ci peut être changée par chacun.

Les tableaux peuvent être partagés au moyen d’un code QR, d’un lien de partage ouvert à tous ou d’une invitation par courriel.

Google Jamboard

L’application Google Jamboard offre un tableau blanc virtuel. L’application existe en version web ou en une version pour les appareils mobiles. (Des utilisateurs des 2 versions peuvent partager un tableau et collaborer ensemble.)

Les 2 versions permettent:

  • l’annotation manuscrite de différentes couleurs
  • l’ajout de texte de différentes couleurs
  • l’ajout de notes (papillons adhésifs; Post-it)
  • le choix parmi quelques modèles et couleurs d’arrière-plans
  • l’insertion d’images (à partir de votre appareil ou de Google Images)
  • l’insertion de lignes ou de formes géométriques
  • une fonction « pointeur laser »

La version pour appareil mobile (que je n’ai pas testée) offre une fonction de reconnaissance du texte et des formes pour clarifier l’écriture manuscrite.

Un tableau Google Jamboard utilisé pour une étude de cas (ou la résolution d’un problème). (Source de la question et de plusieurs éléments de la réponse: Marieb E. et coll., Anatomie et physiologie humaine, ERPI)

Le canevas du tableau blanc a une taille limitée, mais des pages peuvent être ajoutées en un clic. Le contenu des tableaux blancs peut être enregistré automatiquement en format image ou PDF.

Les tableaux peuvent être partagés:

  • en invitant les personnes une ou à une au moyen de leur adresse courriel
  • en obtenant un lien de partage

Lors du partage, on peut choisir d’accorder des droits de lecteur ou d’éditeur aux invités.

Padlet

Padlet est un outil commercial disponible en une version gratuite qui permet de créer 3 tableaux à la fois (on peut ensuite en effacer un pour en créer un nouveau). Padlet est un babillard collaboratif davantage qu’un tableau blanc, mais plusieurs de ses utilisations pédagogiques sont similaires.

Ce qui distingue Padlet des autres outils présentés plus haut est que les contributions de chacun sont toutes organisées sur des notes attribuées à leurs auteurs que les autres utilisateurs peuvent commenter de façon structurée (si cette fonctionnalité est activée). Pour que les noms des auteurs apparaissent, ceux-ci doivent se créer un compte, autrement les notes seront indiquées comme étant anonymes.

Sur un tableau Padlet, on peut ajouter :

  • du texte
  • des fichiers (images, documents, PDF, feuilles de calculs, audio, etc.)
  • des hyperliens
  • des photos (trouvées sur le web ou prises avec la webcam ou la caméra du téléphone directement à l’intérieur de Padlet)
  • des vidéos (trouvées sur le web ou enregistrés avec la webcam ou la caméra du téléphone directement à l’intérieur de Padlet)
  • des fichiers audio enregistrés avec le micro de l’ordinateur ou du téléphone directement à l’intérieur de Padlet
  • des dessins faits à main levée
  • des captures d’écran faites à l’aide de Padlet lui-même
  • des cartes en provenance de Google Maps que l’on peut marquer d’un repère

Ce qu’on peut publier sur Padlet

Padlet est très convivial et versatile. Des canevas variés sont offerts et différents modèles (arrière-plans, thèmes) sont disponibles pour chacun.

Les différents canevas possibles dans Padlet

Exemple d’utilisation de Padlet pour amener les étudiants à imaginer des questions d’examens sur un sujet donné et à répondre à celles de leurs pairs

Exemple d’utilisation de Padlet pour permettre à une équipe d’étudiants de structurer ses connaissances dans une activité d’apprentissage par problème. (Ce padlet est construit d’après un modèle qui se trouve dans la galerie de Padlet.)

Les utilisations pédagogiques possibles de Padlet au collégial sont nombreuses. Le tableau suivant en donne un aperçu. (Plusieurs des suggestions proviennent d’un texte de Lucie Renard sur le blogue BookWidgets [en anglais].)

Des idées pour utiliser Padlet en classe au collégial. Vous avez des idées à ajouter au tableau? Allez-y! (Padlet utilisé pour un remue-méninges!)

Un tableau Padlet peut être partagé par courriel, au moyen d’un lien de partage ou d’un code QR. Il peut être public ou protégé par un mot de passe. On peut choisir si les visiteurs peuvent ou non voir le tableau, publier eux-mêmes ou modifier les publications existantes.

On peut activer ou non les fonctionnalités permettant aux utilisateurs de:

  • commenter des publications
  • aimer des publications
  • voter pour ou contre des publications
  • attribuer des étoiles à des publications (1 à 5 étoiles)
  • noter des publications

Les tableaux Padlet peuvent être exportés au format:

  • image
  • PDF
  • CSV
  • feuille de calcul Excel

Mindmeister

Mindmeister est un outil de création de cartes conceptuelles.

C’est un outil commercial disponible en une version gratuite qui permet de créer ou de collaborer à 3 cartes à la fois (on peut ensuite en effacer une pour en créer une nouvelle). La version gratuite présente un peu moins de fonctionnalités que la version payante, mais la version gratuite est tout de même très complète. Le principal inconvénient de la version gratuite est clairement la limite des 3 cartes, qui pourra être handicapant pour vous si vous voulez participer aux cartes de plusieurs équipes d’enseignants. (Vous pourrez facilement voir toutes les cartes des équipes, mais vous ne pourrez modifier que 3 cartes à la fois.)

Mindmeister est un outil collaboratif, car une carte peut être partagée (par courriel ou au moyen d’un lien de partage) et modifiée en temps réel par les différents collaborateurs. On peut également partager des cartes que les autres peuvent voir sans pouvoir les modifier.

Mindmeister peut indiquer quel utilisateur a ajouté un élément donné à la carte, si la personne a un compte.

Une carte conceptuelle simple sur différentes formes d’énergie mécanique que les étudiants d’un cours de mise à niveau en physique auraient pu coconstruire

Les cartes peuvent inclure:

  • des hyperliens
  • des images en provenance de Google (dans la version gratuite de Mindmeister, le choix parmi les résultats de recherche est limité)
  • des vidéos
  • des commentaires

L’annotation manuscrite n’est pas possible.

On peut personnaliser les couleurs et les formes des éléments de la carte et ajouter une image en arrière-plan.

Mindmeister offre un peu moins de liberté dans la structure possible des cartes que le logiciel gratuit Cmap (qui ne permet pas la collaboration en temps réel en ligne), mais l’interface est plus conviviale.

Profweb a déjà publié le récit d’un enseignant qui utilise MindMeister pour partager des contenus avec ses étudiants.

Des étudiants peuvent coconstruire le plan d’une dissertation avec MindMeister. (Source des informations utilisées pour le contenu du plan de dissertation: CCDMD)

Vous pouvez faire des cartes conceptuelles sur un tableau blanc collaboratif qui n’est pas spécialement conçu à cette fin. Toutefois, si les cartes conceptuelles occupent une grande place dans votre enseignement ou si c’est la seule utilisation que vous avez en tête pour les tableaux blancs dans votre cours, utiliser un outil spécialement conçu à cette fin peut être avantageux.

D’autres options…

En plus de tous les outils mentionnés précédemment, il y a plusieurs autres options, dont:


  • Miro
    , un tableau blanc qui propose plusieurs gabarits et des fonctionnalités variées (incluant un outil de création de cartes conceptuelles). L’interface est fonctionnel et convivial. La version gratuite permet de créer 3 tableaux.
  • Mural [en anglais], un babillard convivial mais dont l’utilisation est payante (essai gratuit possible)
  • Lino [en anglais], un babillard entièrement gratuit
  • Explain Everything [en anglais], une application de tableau blanc conçue à la base pour l’enregistrement de vidéo explicatives, mais les forfaits payants offrent également des fonctions de collaboration pour de petits groupes (maximum absolu de 25 personnes, mais les développeurs suggèrent de ne pas dépasser 8 personnes pour que le fonctionnement soit optimal).

Et ce n’est qu’un aperçu!

Alors, quel outil choisir?

Pour tester les tableaux, j’ai utilisé un ordinateur portable muni d’une tablette graphique d’entrée de gamme (un dispositif qui permet de remplacer la souris d’un ordinateur par une plaquette sur laquelle on pointe un stylet). Je n’ai testé aucun des outils à partir d’un appareil mobile.

J’ai beaucoup aimé travailler avec Microsoft Whiteboard pour créer les tableaux qui figurent dans ce texte. Cet outil a toutes les fonctionnalités qu’on attend d’un bon tableau blanc virtuel. Toutefois, je travaillais avec la version de bureau: si vous demandez à vos étudiants de travailler avec cet outil et qu’ils n’ont pas Windows 10 et utilisent la version en ligne, ils seront moins enchantés.

J’ai été impressionnée par les nombreuses fonctionnalités de Whiteboard.chat, application entièrement gratuite. La fonctionnalité qui permet de superviser plusieurs tableaux en même temps m’a rappelé les outils Formative et Classkick, dont j’ai déjà parlé dans Profweb, mais avec davantage de possibilités de collaboration entre étudiants et avec de la visioconférence en prime. Toutefois, si on n’utilise pas la supervision de tableaux multiples, alors le tableau blanc de Whiteboard.chat perd son intérêt puisqu’il est loin d’être le plus convivial ou le plus facile d’utilisation.

Finalement, je suis une fan de Padlet depuis que j’ai découvert cet outil extrêmement bien fait, aussi simple d’utilisation que polyvalent. Ce n’est pas un tableau blanc à proprement parler, mais il peut, à mon avis, le remplacer avantageusement pour plusieurs des utilisations collaboratives entre les étudiants (à moins que l’écriture manuscrite ou le dessin à main levée ne soit central au projet).

En bref, les outils présentés ont tous leurs avantages et leurs faiblesses. Pour faire votre choix, il faut que vous vous basiez sur vos besoins en fonction du cours que vous donnez et de l’utilisation que vous voulez faire. Bonne réflexion, bonne exploration et bonne expérimentation!

À propos de l'auteure

Catherine Rhéaume

Catherine Rhéaume est éditrice et rédactrice pour Éductive (auparavant Profweb) depuis 2013. Elle est enseignante de physique au Cégep Limoilou. Elle est également auteure de différents cahiers d’apprentissage pour la physique et pour la science et la technologie au secondaire. Son travail pour Éductive l’amène tout naturellement à s’intéresser à la pédagogie numérique et à l’innovation pédagogique.

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